La Poste

Publié le par marine et margaux

INTRODUCTION

Lorsque qu'on communique par écrit, on peut transmettre des informations.On peut s'échanger des idées,se prévenir de différents évènements.

Au cours du temps, on a inventées plusieurs solutions :

-le fax

-internet

-une machine à écrire

-les SMS

-le courrier (La Poste)

-la publicité

-le journal

La Poste

La France est le premier pays où le service de La Poste a été établi, elle l'a enseigné aux autres nations. C'est l'une des plus puissantes ressources. Dans l'antiquité, il y eu plusieurs postes. On peut communiquer d'un bout de la France à l'autre comme si on étaient réunis dans la même ville.

C'est Louis XI qui a instauré les premières bases des postes. Il ne faut sans doute pas s'imaginer qu'il ait improvisé tout d'un coup cette institution telle qu'elle existe aujourd'hui. Les postes ne sont arrivées à ce point de perfection que peu à peu et par un progrès continuel ; il y a des mesures ordonnées par Louis XI mais la plupart vient des Romains.

Les maîtres des postes devaient veiller à l'entretien des relais mais  ils devaient faire en même temps le métier de postillons. Ils devaient faire le service de courrier toutes les fois que l'administration ne jugeait pas convenable d'envoyer un courrier particulier. Soit le grand maître, soit les commis résidant dans toutes les villes frontières, transmettaient les dépêches au maître de poste le plus voisin ; celui-ci montait à cheval et les apportait au suivant, lequel faisait la même chose jusqu'à ce que les dépêches fussent enfin rendues à destination. On devine aisément tous les retards qui devaient nécessairement accompagner un pareil mode de transport. On y avait remédié en partie en ordonnant de marquer soigneusement le jour et l'heure d'arrivée, et de rechercher les auteurs du retard, toutes les fois qu'il y en aurait, pour les punir par la suspension ou le retrait de leur charge. Le tarif de cette époque n'était pas considérable. Le grand maître, dans ses tournées, devait être conduit gratuitement, lui et ses gens.Enfin, toutes les fois que l'on se contentait d'envoyer des dépêches, sans les confier à un courrier spécial, les maîtres coureurs devaient, sans aucune rétribution, monter à cheval et les transporter eux-mêmes d'un relais à l'autre.

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